Toi, automne si incompris… A mal te connaître, on te témoigne du mépris. Tu es celui qui met fin à nos vacances. Mais sans toi, pas de moissons, pas de vendanges.
Je t’aime pour la qualité de ton pinceau qui pare la nature de son plus beau manteau. Sous le tapis de feuilles, le sol fraîchement dégarni y trouvera le repos du travail accompli.
Même si la nature ne t’accorde pas son plus beau ciel ces changements, que tu provoques, nous sont essentiels. Sache, toi, bel automne, que tu resteras toujours le décor le plus merveilleux de ma cour !